lunes, 29 de julio de 2024

Pte. anthologie des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, Dr. SOSSE ALAOUI Med

 

Dr. SOSSE ALAOUI MOHAMMED

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Petite anthologie des nouvelles sources d’énergies

renouvelables dans les romans de

science-fiction dans le monde

1662-2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maroc

2024

Avant-propos

 

   A proprement parler, crise climatique et sources de nouvelles énergies renouvelables vont de pair aujourd’hui dans les romans dans le monde. Et c’est ce qui nous a inciter à priori ici à tenter d’en confectionner une : «Petite anthologie des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024». Là-dessus, Marion, Animatrice réseau à Lille indique notamment : « La fiction climatique [v. le roman de science-fiction], c’est quoi ? C’est un néologisme inventé par un journaliste américain en 2008 pour qualifier un sous-genre de la science-fiction. Le lecteur ou la lectrice y est plongé(e) dans un monde où la crise climatique et écologique atteint un stade ultime et où la question de la survie de l’humain sur la planète se pose. Les œuvres de cli-fi [v. de climat-fiction] accordent une grande place à l’environnement, mais elles tracent surtout un lien direct entre activités humaines et changements. Ce genre remonte aux années 60 avec des romans tels que Le Monde Englouti ou Sécheresse de James G. Ballard (1962 et 1964) ou encore Le Monde vert [v. ici les sources de nouvelles énergies renouvelables dans les romans dans le monde] de Brian Aldiss (1962). […] Les récits, parce qu’ils permettent de donner vie à des concepts et de s’identifier aux personnages, peuvent entraîner un changement des mentalités individuelles et collectives et possèdent donc un pouvoir de mobilisation. […] Les fictions climatiques ne prétendent bien sûr ni prédire fidèlement l’avenir ni être des écrits à valeur scientifique, mais permettent de mobiliser les consciences d’une nouvelle manière.» - «La fiction climatique, petite introduction », www.le-reses.org, p.1. D’où respectivement : 

 

      I. L’âge classique sans énergie et la mise en scène du personnage énergie du nouvel âge et le problème des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024.

      II. La montée en puissance des sources d’énergies renouvelables et la mise en fiction de l’énergie solaire dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024.

       III. L’intelligence artificielle des robots à l’internet et la déconstruction de l’espace dans le temps d’une société dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024.

       IV. L’écologie thématique majeure du climat fiction et les panneaux solaires dévastés dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024.

      V. L’intelligence artificielle polluante ayant besoin de puissance informatique et d‘énergie et scénarios d’anticipation des conflits futurs dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024. Ce dont nous observerons alternativement :

 

        I. L’âge classique sans énergie et la mise en scène du personnage énergie du nouvel âge et le problème des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

        Aussi pour ce qui est L’âge classique sans énergie et la mise en scène du personnage énergie du nouvel âge et le problème des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, il est à observer en particulier :

 

 

         1. L’âge classique sans énergie et la mise en scène du personnage énergie du nouvel âge dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

          A propos de l’âge classique sans énergie et la mise en scène du personnage énergie du nouvel âge, un article de Litteratus et Overblog rapporte : «Au XVIIe siècle, l’équilibre constitue un idéal de forme, il n’y a pas de référence à l’énergie [v. ici les nouvelles énergies dans les romans dans le monde] sauf pour évoquer la religion avec la création du monde. Son émergence au siècle des Lumières entraîne une nouvelle conception du monde qui rompt définitivement avec cet équilibre… […] Le roman de l’énergie [v. absent à l’époque classique] n’existe à proprement parler qu’à partir du XVIIIe siècle. Cela ne veut pas dire que l’énergie n’est pas évoquée auparavant : elle appartient seulement à un champ délimité : la religion. […] Par voie de capillarité, la nature, en tant que création divine, est-elle aussi dotée d’une énergie. […] Cela signifie à contrario que cette énergie est hors de portée des hommes […] : ils sont dans la quête de l’équilibre qui préfigure un idéal repris notamment dans la littérature. C’est un des éléments clé de l’histoire du classicisme au XVIIe siècle. […] L’émergence de l’énergie appliquée à l’homme [v. les nouvelles énergies renouvelables dans les romans dans le monde] surgit durant le siècle suivant, celui des Lumières. Il entraîne une nouvelle conception du monde qui rompt avec cet équilibre idéalisé : en effet, le mouvement pénètre en force et envahit tout l’espace ; il déstabilise tout sur son passage ...» - «L'idéal du classicisme et l’énergie (romans de l'énergie)», www.gazettelitteraire.com, p.1.

        

     2. la mise en scène du personnage énergie du nouvel âge et le problème des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

 

      Par ailleurs, sur la mise en scène du personnage énergie du nouvel âge et le problème des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, Anne Barrère et Danilo Martuccelli    remarquent : «Les romanciers choisis ont littéralement mis en abîme les trois principaux registres descriptifs du personnage […]. Mais, aux anciennes formes, ils substituent, plus ou moins nettement, une autre forme d’exploration. […] La réponse est aussi simple qu’efficace, mais elle constitue un véritable infléchissement dans le regard romanesque. L’énergie remplace désormais la position, la conscience et le sens. Dans les romans que nous étudions, et sans doute dans bien d’autres, c’est l’énergie qui devient le foyer central du dispositif romanesque de saisissement du personnage [v. les nouvelles sources énergies renouvelables dans les romans dans le monde].  Son intensité est plus importante que les formes. Le problème de ses sources retient l’attention, qu’il s’agisse de la société, de la nature ou de soi-même. Subrepticement, l’énergie remplace les autres modèles. Le personnage, c’est l’énergie. […] S’il n’y a, pour cette question, aucune solution positionnelle, intérieure ou existentielle probante [v. les nouvelles énergies renouvelables dans les romans dans le monde], nos romanciers vont montrer qu’il existe par contre des branchements différentiels plus ou moins énergétiques dans le monde. […] Dans certains romans, le souci de la moindre dépense énergétique est omniprésent. […] Les pannes d’énergie, défauts de mouvement, ratés énergétiques sont au centre de la description. Quant à l’affirmation personnelle de l’individu contre le monde, elle peut prendre aussi la figure paradoxale d’une fuite – énergique – du mouvement lui-même, combinant alors arrachement et retrait, dans des mises à l’abri spectaculaires. » - «Un nouvel âge du personnage : les régimes d’énergie », www. books.openedition.org, pp. 117-146.

 

         II. La montée en puissance des nouvelles sources d’énergies renouvelables et la mise en fiction de l’énergie solaire dans les romans de science-fiction dans le monde: 1662-2024 :

 

 

          De la montée en puissance des nouvelles sources d’énergies renouvelables et la mise en fiction de l’énergie solaire dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, relevons :

 

           1. La montée en puissance des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :  

 

 

           Toutefois de la montée en puissance des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024,  Gilles Lepesant signale : «La décentralisation énergétique à Londres, Fanny Lopez, 2022] part d’un constat : les systèmes énergétiques connaissent une mutation rapide sous l’effet de la montée en puissance des énergies renouvelables [v. les nouvelles énergies renouvelables dans les romans dans le monde] et cette mutation est de nature à transformer la géographie des sites de production et des réseaux et d’ouvrir la voie à des systèmes décentralisés. […] En Europe, les règlementations ont ouvert les marchés, déstabilisé les monopoles, permis l’irruption de nouveaux acteurs et contribué à rapprocher réseaux et réglementations de pays jusque-là peu interconnectés. Enfin, sur fond de mobilisation des opinions publiques et des acteurs publics et privés contre le réchauffement climatique [v. les nouvelles sources d’énergies dans les romans de science-fiction dans le monde], les citoyens s’avèrent désireux de contribuer directement à la transition énergétique comme en témoignent le succès des coopératives énergétiques en Allemagne ou encore l’écho rencontré par les offres proposées en matière d’autoconsommation en France.  […] Il reste symptomatique que […] devenant au même titre que la rationalité économique ou l’aspiration à préserver le climat un puissant levier pour la transformation des systèmes énergétiques.»  - «Énergies nouvelles, territoires autonomes ? », www.books.openedition.org, pp. 11-27.

 

      2. La mise en fiction de l’énergie solaire dans les romans de science-fiction : 1662-2024 dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 : 

 

       Certes, la mise en fiction de l’énergie solaire dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, permet de voir à cet égard, écrit Sophie Pehlivanian : «Alors que l’énergie solaire était encore considérée il y a une quinzaine d’années comme une « énergie nouvelle » [v. les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans dans le monde] du fait de son exploitation encore non systématique et loin de l’ordre énergétique établi autour du pétrole et du nucléaire, les techniques qui lui sont propres ont pourtant été imaginées, pour la plupart, depuis plus d’un siècle. Par la symbolique séduisante de la maîtrise du rayonnement solaire, la plus grande des puissances énergétiques qui nous parvienne sur Terre, les technologies solaires trouvent un écho rapide auprès du grand public, en France, dès la seconde moitié du XIXe siècle. […] D’une énergie fantasmée dans les récits d’anticipation du XIXe siècle à celle décrite dans les romans de science-fiction au cours du XXe siècle, l’exploitation du rayonnement solaire est empreinte de l’idée d’énergie de tous les possibles […]. La fiction et la science communiquent et s’inspirent mutuellement pour alimenter les mythes tout en faisant avancer la technique. Mais cette circulation, bien qu’elle permette d’entretenir une réflexion sur la place du soleil et de ses énergies [v. les nouvelles énergies renouvelables dans les romans dans le monde] dans le mix énergétique dont les combustibles fossiles occupent une part largement majoritaire, risque de relier l’énergie solaire à une société du futur qui s’apparenterait à une société « utopique », si l’on considère l’utopie dans son sens littéral, comme un lieu qui n’existe pas…» - « La mise en fiction de l’énergie solaire», www.cairn.info, p.1.

 

     III. L’intelligence artificielle des robots à l’internet et la déconstruction de l’espace dans le temps d’une société dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

     Du fait, allant de l’intelligence artificielle des robots à l’internet et de la déconstruction de l’espace dans le temps d’une société dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, il est à souligner :

 

         1. L’intelligence artificielle des robots à l’internet dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

 

            Concernant le passage de l’intelligence artificielle des robots à l’internet, dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, Pierre Ropert décrypte à propos du futuriste Isaac Asimov : «Des robots à l'intelligence artificielle, de l'ordinateur à Internet, [v. nouvelles ressources d’énergies renouvelables dans les romans dans le monde] l'écrivain de science-fiction [v. Isaac Asimov : 1920-1992] a laissé derrière lui une oeuvre visionnaire, ayant anticipé, 50 ans avant tout le monde, nombre des évolutions technologiques de notre temps. […] Peu d’auteurs de science-fiction ont dépeint avec autant de précision le futur. Né en 1922, Isaac Asimov est encore considéré comme l'un des plus grands auteurs de science-fiction, à la fois en raison de ses romans […] consacrés aux robots, qui mettaient en scène, bien avant leur existence concrète, les problématiques que poserait l’intelligence artificielle [v. les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde]   , mais également en raison de son grand cycle de roman Fondation, ayant remporté en 1966 l’unique prix Hugo de science-fiction de “Meilleure série de tous les temps”. Dans ses récits, l'écrivain russo-américain se plaisait à imaginer un futur lointain, où l'humanité avait d'ores et déjà conquis les étoiles. Mais il s'était également essayé à la prospective, de façon bien moins lointaine. En 1964, Isaac Asimov s'imaginait ainsi à quoi pourrait bien ressembler le futur 50 ans plus tard, en 2014, dans un texte traduit par le site Framablog. Un exercice auquel il s'était à nouveau adonné en 1984, dans une interview accordée au quotidien canadien Toronto Star où il imaginait cette fois l’année 2019. Sa vision globale de la technologie et de ses enjeux [v. ici les nouvelles énergies renouvelables dans les romans dans le monde] lui conférait, en la matière, une étonnante acuité.» - « Quand l'écrivain de science-fiction Isaac Asimov prédisait le futur », www.radio france.fr, p.1.

 

    2. La déconstruction de l’espace dans le temps d’une société dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

 

    Quant à la déconstruction de l’espace dans le temps d’une société dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, Nadra Lajri évoque : «Le rapport à la notion de temps présente des enjeux multiples dans les littératures africaines : enjeux identitaires, de rapport à l’Histoire, de vision du monde, de perspectives d’avenir [v. les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans dans le monde]. […] La décennie qui suit les indépendances est une époque où se confondent l’euphorie de la liberté retrouvée et une interrogation sur l’engagement politique et littéraire dans ce nouveau contexte social et politique. Comme toutes les périodes de rapides transformations et d’espoir de constructions nouvelles, la décennie 1960-1970 connaît l’effervescence du renouveau et un grand nombre de publications romanesques variées, caractérisées essentiellement par une vision optimiste de l’avenir et la volonté de participer à cette nouvelle édification de la société. Mais, à cette euphorie collective succède rapidement le temps des désillusions et de l’amertume suscité par les difficultés économiques [v. des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans dans le monde], sociales, politiques qui exaspèrent bon nombre de romanciers qui se tournent vers la critique de la société, des systèmes politiques, des traditions et de leur propre vision du monde qu’ils considèrent désormais comme une utopie sans fondement. On assiste alors à une littérature qui se « désagrège » symbolisant par son style même cette «déconstruction» dans l’espace [v. les nouvelles énergies dans les romans dans le monde] et dans le temps d’une société dont la solidarité et l’unité constituaient pourtant sa raison d’être.» - «Le temps, la mémoire et la nostalgie dans le roman africain», www.books.openedition.org, p.1.

 

       IV. L’écologie thématique majeure du climat fiction et les panneaux solaires dévastés dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

        Au sujet de l’écologie thématique majeure du climat fiction et des panneaux solaires dévastés dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, considérons :

 

         1. L’écologie thématique majeure du climat fiction dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

 

          Aussi de l’écologie thématique majeure du climat fiction dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, Sophie Souchard commente : «Depuis les années 1970, les auteurs de science-fiction sont nombreux à s’emparer du thème du réchauffement [v. les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans dans le monde]. […] Des romans de climate fiction (« fiction climatique »), selon le terme inventé par le journaliste américain Dan Bloom en 2011. Venu des États-Unis, ce sous-genre de la science-fiction se développe aussi en France. « Il s’agit, la plupart du temps, soit de situations dans des futurs proches, où le réchauffement a pris de l’ampleur […]; soit de mondes post-apocalyptiques, où le réchauffement a entraîné l’effondrement des sociétés », explique Loan Treca, directrice des éditions Arkuiris. […] « La fiction peut permettre de toucher un public qui ne lirait pas forcément les rapports du Giec ou des articles scientifiques», abonde Yann Quero, auteur de deux romans de climate fiction. […] En 2005, il publie Le Procès de l’homme blanc (Arkuiris), qui se projette en 2143. Le réchauffement climatique a provoqué l’arrêt du Gulf Stream et plongé l’hémisphère Nord sous la glace. Le romancier est parti d’une hypothèse scientifique actuelle : l’eau issue de la fonte des glaces du Groenland et des précipitations excessives pourrait perturber le courant océanique à l’origine du climat tempéré européen.» - «De la science-fiction à la « climate-fiction » : des romans pour penser le changement climatique »,  www.la-croix.com, p.1.

 

         2. Les panneaux solaires dévastés dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

 

         Et pourtant, pour ce qui est des panneaux solaires dévastés dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, Dorian de Schaepmeester juge : «Si on ne peut pas prévoir le futur, certains tentent tout de même de l'apercevoir, mettant à profit leurs idées créatives. Auteurs, […] artisans de l'imaginaire se sont essayés à esquisser ce qu'il pourrait advenir de l'humanité au cours des années et des siècles à venir par le biais de la science-fiction [v. les nouvelles énergies dans les romans dans le monde]. […] Depuis la naissance de ce genre, à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, avec les romans d'écrivains comme Jules Verne (20.000 lieues sous les mers, De la Terre à la Lune...) ou H.G. Wells (La Guerre des Mondes, La Machine à Explorer le Temps...), la science-fiction s'est diversifiée en des dizaines de ramifications et sous-genres. Parmi eux, les premières histoires écologiques voient le jour entre les années 1930 et 1950, abordant ainsi de nouveaux sujets avec des romans tels que Demain Les Chiens de Clifford Simak ou Que la Terre demeure de George Stewart. Avec l'augmentation de la menace induite par le réchauffement climatique et l'impact de l'activité humaine sur ce phénomène l'écofiction est devenu un type de romans à part entière, et trouve une résonance particulière dans la science-fiction.  […] Dans la saga Blade Runner, les champs ont laissé place à des plaines grisâtres de panneaux solaires, ou des cités verticales dans lesquelles la lumière du Soleil ne perce pas, tandis que dans la série […], une guerre nucléaire [v. ici les nouvelles sources d’énergies dans les romans de science-fiction dans le monde] a détruit les États-Unis (et probablement le reste du monde), ne laissant qu'une terre infertile et hostile à la vie.» - «L'écologie, thématique majeure dans la science-fiction», www.futura-sciences.com, p.1.

 

    V. L’intelligence artificielle polluante ayant besoin de puissance informatique et d‘énergie et scénarios d’anticipation des conflits futurs dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

 

     Ainsi, sur l’intelligence artificielle polluante ayant besoin de puissance informatique et d‘énergie et sur les scénarios d’anticipation des conflits futurs dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, on pourrait sonder :

 

 

     1. L’intelligence artificielle polluante ayant besoin de puissance informatique et d‘énergie :

 

       De toute évidence, en ce qui concerne l’intelligence artificielle polluante ayant besoin de puissance informatique et d‘énergie, Shem's Tlemçani révèle : «Les objectifs climatiques des géants de la tech sont en dégringolade. Au lieu de baisser, les émissions de gaz à effet de serre (GES) de Google sont en hausse, détaille un rapport environnemental. “A mesure que nous intégrons l’IA [l’intelligence artificielle] dans nos produits, la réduction des émissions pourrait s’avérer difficile”, admet le leader de la recherche en ligne dans la publication. En effet, entre 2019 et 2024, les GES [v. Gaz à Effet de Serre] de Google ont quasiment doublé, […] en 2024. […] Pour que ces intelligences artificielles, comme ChatGPT ou autres services en ligne (applications mobiles, clouds…), Google doit conserver toutes ces données dans un centre abritant de multiples serveurs informatiques. Et qui dit stockage d’informations, dit forcément énergie [v. ici nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans dans le monde]. En effet, les bâtiments qui “entreposent” ces données ont besoin d'électricité, mais aussi d’eau pour refroidir les serveurs qui peuvent surchauffer. Et selon le groupe californien, les données liées à l’IA [l’intelligence artificielle], à elles seules, nécessitent beaucoup plus de puissance informatique et d’énergie [v. perte d’énergie]. Donc tout cela implique des émissions de gaz à effets de serre tant dans la construction de ces bâtiments que pour la fabrication des composants électroniques (les puces, écrans, serveurs…).  […] De ce fait, la pollution et le gaspillage de l'eau, bien que non perceptibles pour nous, ne cessent de s'accroître en raison du stockage de ces données.» - «À cause de l'IA (l’intelligence artificielle) les émissions de carbone augmentent», www.caminteresse.fr, p.1.

 

       2. Les scénarios d’anticipation des conflits futurs dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024 :

 

        En outre, les scénarios d’anticipation des conflits futurs dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024, un article du net paris-luttes.info revisite Alain Damasio en ces termes : « Alain Damasio est un écrivain qu’on ne présente plus : il est notamment l’auteur de plusieurs romans de fantasy et de science-fiction. Dans La zone du Dehors et Les Furtifs, il dresse le portrait de sociétés dystopiques [v. totalitaires] dans lesquelles l’État ou les multinationales exercent une emprise technologique totalitaire [v. les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde] sur et à travers la population, et narre les luttes de groupes dissidents. […] On l’interroge sur l’actualité et le futur des technologies, on l’écoute fustiger le capitalisme de surveillance, on lit ses intuitions sur les manières de renouer avec le vivant […]. […] En 2019, Damasio s’était opposé à l’instrumentalisation de l’imaginaire à des fins militaires, lorsque le ministère des armées avait constitué la « Red Team », un ensemble d’écrivain(e)s chargés de proposer des scénarios d’anticipation des conflits futurs […].  Qu’il soit aveugle et naïf, inconséquent et irresponsable ou bien simplement opportuniste et hypocrite, une chose est sûre : Damasio ne nous vendra plus du rêve.» - « Damasio, les NFT [Non-Fungible Token (ou objets informatiques non-fongibles stockés] et les crypto…», www. paris-luttes.info, p.1.

 

 

       En conclusion de l’avant-propos de cette : «Petite anthologie des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde : 1662-2024», analysons avec Abd El Khadr Hamza et de proximité géographique par rapport au Maroc et le continent africain en ce sens : «Notre analyse des représentations de l’Afrique en science-fiction commence par les représentations historiques et politiques du continent. […] Dans une volonté d’anticipation [v. les nouvelles sources d’énergies dans les romans de science-fiction dans le monde], pour donner une grande crédibilité à sa vision, Léonora Miano développe un regard historique plus global qui inclut les pays du Nord du Katiopa. Elle évoque à leur sujet, à maintes reprises, un Sinistre finalement peu explicité […] Le Sinistre est associé à des catastrophes climatiques également peu explicitées, sans doute en lien avec la crise écologique [v. ici les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans dans le monde] que nous connaissons présentement. Elles déstabilisent de nombreuses régions du continent africain dont les contours géographiques sont même érodés, des régions rendues inhabitables et des populations déplacées, facilitant indirectement le projet de l’Alliance et l’avènement du Katiopa [v. du panafricanisme].  […] Les représentations des futurs des sociétés africaines dans la science-fiction épousent facilement les visions pessimistes du continent qui ont historiquement dominé le genre. Si aujourd’hui le spectre chinois n’est plus négligé, les principales nations incriminées dans ces fictions restent les pays occidentaux. Dans AquaTM, la précieuse ressource que représente la nappe phréatique découverte au Burkina-Faso donne lieu à une foire d’empoigne entre des intérêts divergents. […] Heureusement que certains auteurs s’évertuent à imaginer d’autres réalités, d’autres futurs dans lesquels ce néocolonialisme n’a pas sa place. » - «Afrique(s) et Science-fiction. Histoire(s) et représentations», www.theses.hal.science, pp.269-353.

 

                                                                                                                    L’auteur

I. Aperçus illustratifs des nouvelles sources énergies renouvelables

dans les romans de science-fiction dans le monde, en Europe : 1662-2024

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      Des aperçus illustratifs des nouvelles sources énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Europe, 1662-2024, rappelons avec Gilles Lepesant : «En Europe, les règlementations ont ouvert les marchés, déstabilisé les monopoles, permis l’irruption de nouveaux acteurs et contribué à rapprocher réseaux et réglementations de pays jusque-là peu interconnectés. Enfin, sur fond de mobilisation des opinions publiques et des acteurs publics et privés contre le réchauffement climatique [v. les nouvelles sources d’énergies dans les romans de science-fiction dans le monde], les citoyens s’avèrent désireux de contribuer directement à la transition énergétique comme en témoignent le succès des coopératives énergétiques en Allemagne ou encore l’écho rencontré par les offres proposées en matière d’autoconsommation en France.» - «Énergies nouvelles, territoires autonomes ? », Op.cit., p.1. D’où les exemples d’aperçus illustratifs en Europe suivants :

 

         1. En France, 1662-2024 :  

 

         Des aperçus illustratifs des nouvelles sources énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Europe, 1662-2024, citons à titre d’exemples :

 

·  Les États et Empires de la Lune et du Soleil, Savinien de Cyrano de Bergerac, Ed. Henry Le Bret, 1662 : ou Dyrcona revenu de son voyage dans la Lune :

 

          Né en 1619, à Paris, et mort en 1655, au Sannois, en France, Cyrano de Bergerac, ou Savinien de Cyrano, ou de Bergerac, est un écrivain et romancier français. Il est un auteur novateur qui appartient au courant libertin du grand siècle de Louis XIV. Il était le fils d'Abel I de Cyrano, sieur de Mauvières, (1560-1648), avocat au parlement de Paris, et d'Espérance Bellanger (1586-1640), fille de défunt noble homme Estienne Bellanger, Conseiller du Roy et Trésorier de ses Finances. Il a grandi, dans cet environnement champêtre, et dans quelque paroisse voisine qu'il apprend à lire et à écrire. Des années passées en nourrice et le temps de son pensionnat chez le « bon prêtre », il n'a que peu partagé la « vie de château » de sa famille. Il est l’auteur de : Histoire comique les Etats et Empires de la Lune (1657), Histoire comique des Estats et Empires du Soleil (1662), etc.

 

Les États et Empires de

la Lune et du Soleil,

Savinien de Cyrano de

Bergerac, Ed. Henry

Le Bret, 1662

 

Dyrcona revenu de son voyage dans la Lune le raconte à son

ami le Comte de Colignac, près de Toulouse

 

      «Le narrateur Dyrcona observe en regardant la nuit étoilée parisienne que la Lune est un monde comme la terre, à qui la terre sert de lune. Revenu de son voyage dans la Lune, est reçu par son ami le Comte de Colignac, près de Toulouse, lui raconte histoire. Il s’est hâté de vérifier l’impact de cette hypothèse relativiste en allant à l’aide d’une ceinture de fioles volatiles sur la lune. Il y découvre un monde étrange, où les convictions humaines sur terre sont inversées, et où les humains sont un objet de dérision. De sa bipédie, face à la quadrupédie lunaire, il est considéré comme un animal extraordinaire à garder en cage par les grands de la Lune. Il y converse avec le démon de Socrate, avec Gonzalès, le héros espagnol du Man in the Moone, il combat les dogmatismes, met en question toutes les idées reçues, de son temps. Il manifeste une grande soif pour savoir scientifique, avec humour et facétie. Et écrit son voyage lunaire. Mais accusé de sorcellerie par le curé de Colignac, il est arrêté, dans une cellule avec terrasse, et pour s'évader, il fait monte diverses inventions, dont une machine composée de miroirs en parabole censée pouvoir voler avec un passager et rejoindre le domaine de Colignac. Mais ayant mal calculé les capacités de son engin, il s'envole, contre son gré, vers le Soleil. La présence de plus en plus importante du Soleil le rend toujours plus heureux et l'empêche d'avoir faim. Le voyage se termine par sa rencontre de Descartes, nouvellement arrivé au Soleil puisqu'il vient de mourir.», www. babelio.com, p.1.

 

·  La Peau de chagrin, Honoré de Balzac, Ed. Charles Gosselin, 1831 : ou la peau d’onagre énergique et magique capable d’exaucer tous les désirs de son utilisateur :

 

La Peau de chagrin,

Honoré de Balzac,

Ed. Charles Gosselin,

1831

 

       Né en 1799, à Tours, et mort en 1850, à Paris, en France, Honoré de Balzac, ou Honoré Balssa est un écrivain, romancier, essayiste et journaliste français. Fils d'un secrétaire au Conseil du roi et directeur des vivres, il est employé, pendant ses études, chez un notaire où il s’imprègne des drames familiaux. À vingt ans, il obtient son baccalauréat de droit, mais se consacre à la littérature. En 1823, il épouse une voisine de ses parents, Laure de Berny, (de 15 ans plus âgée que lui. Celle-ci l’initie aux milieux aristocratiques et l'aide dans ses entreprises d'édition et d’imprimerie. En 1832, il s'éprend de la comtesse Hanska, une admiratrice, qu’il rencontre en Suisse. Devenue veuve, en 1841, son rêve et de l’épouser est sans cesse retardé, mais l’épouse en 1850. Il échoue à entrer à l'Académie française. Il a laissé La Comédie Humaine une des plus imposantes œuvres de la littérature française. Il est l’auteur de : Les Chouans (1829), La Peau de chagrin (1831), Le Colonel Chabert (1832), Eugénie Grandet (1833), Le Père Goriot (1835), Illusions perdues (1843), etc.

 

La Peau de chagrin,

Honoré de Balzac,

Ed. Charles Gosselin,

1831

Une peau d’onagre énergique et magique capable d’exaucer

tous les désirs de son utilisateur

 

    «A Paris, le jeune de Valentin Raphaël, ruiné et revenu de tout, raconte sa vie à son camarade Emile, songeant à se suicider, dans la Seine. Mais il renonce à son projet, et entre dans une boutique de curiosités, où un vieil antiquaire lui offre une peau d’onagre dont la propriété énergique et magique est d’exaucer tous les désirs de son utilisateur, et qui se réduit après chaque vœu obtenu. L’ayant reçu, n’ayant plus rien à perdre, il fait un premier vœu d’aller à un dîner royal splendide. En sa sortie, il est invité par ses camarades à festoyer, chez le banquier Taillefer. Là, il trouve la débauche de nourriture, d’alcools et de femmes dont les deux courtisanes, Euphrasie et Aquilina. Or, il pense vivre pauvrement chez deux hôtesses, Mme Gaudin et sa jeune fille Pauline, contre des leçons de piano. En 1829, Rastignac qui lui suggère de séduire la riche et belle veuve, la comtesse Foedora, dont il tombe vite amoureux. Il retourne à la vie mondaine. Mais celle-ci ne l’aime pas. Obsédé d’elle, il était prêt à se suicider, sans l’acquisition de la peau d’énergie vitale. Il avoue à son camarade son vœu d’être millionnaire. Et un notaire vient lui dire qu’il est l’héritier du major O’Flahertie d’une fortune de 6 millions de francs. Il voit la peau trop réduite. Cherchant la solitude, d’une petite maison, au Mont-Dore en vain, il rentre à Paris retrouver Pauline, son dernier désir d’amour. Pour ne pas le voir mourir, celle-ci essaie de se tuer pour le sauver, mais il est trop tard, il tombe et meurt.», www.groupe-reussite.fr, p.1.

 

·  L'Ile mystérieuse Jules Verne, Ed. Hetzel, 1875 : Le sous- marin, du Nautilus du capitaine Nemo au système d'alimentation électrique irréalisable coulé faute de pile ou batterie de taille :

 

        Né en 1828, à Nantes, et mort en 1905, à Amiens, en France, Jules Verne est un écrivain, romancier et dramaturge français.  Son l’époque de Jules Verne est celle des romans d'anticipation. Après un bac littéraire, il suit des études de droit à Paris. Il se consacre ensuite au théâtre, avec le soutien des Dumas, père et fils, en devenant secrétaire du théâtre lyrique, jusqu'en 1854. Avec de nouvelles charges familiales, il occupe le poste d'agent de change. Il rencontre l’éditeur Pierre-Jules Hetzel et lui propose un manuscrit "Voyage en l'air», devenu "Cinq semaines en ballon", le début d'une longue collaboration. L'année 2005 a été déclarée l’"Année Jules Verne", à l'occasion du centenaire de sa mort. Il est l’auteur de : Voyage au centre de la Terre (1864), De la Terre à la Lune (1865), Vingt mille lieues sous les mers (1870), Le Tour du monde en 80 jours (1872), L'Ile mystérieuse (1875), Les Indes noires (1877), etc.

 

L'Ile mystérieuse

Jules Verne, Ed.

Hetzel, 1875

 

Le sous- marin, Nautilus du capitaine Nemo au système d'alimentation

électrique irréalisable coulé faute de pile ou batterie de taille

 

    «Au cours de la guerre de Sécession, cinq Nordistes : l'ingénieur Cyrus Smith et son chien Top, le reporter Gédéon Spilett, le Noir Nab, le marin Pencroff et le jeune Harbert, prisonniers des troupes séparatistes, se sont enfuis en ballon. Pris dans la tempête, ils échouent sur une île déserte, de l’Océan Pacifique qu’ils nomment Lincoln. Privés de tout, ils s'organisent à vivre presque normalement. Mais des faits inexplicables les font à croire à la présence d'une puissance mystérieuse conduit leur destinée, aux moments critiques. Un jour, ils reçoivent un message de leur guide et sauveur les invitant à un endroit. Ils le rejoignent en dans un sous- marin, Nautilus du capitaine Nemo, tant apprécié par Spilett et Smith. Ils apprennent que le système d'alimentation électrique du Nautilus demeure, irréalisable, car il n'existe aucune pile ou batterie de taille, pour permettre au navire de réaliser ses longs voyages sans ravitaillement ni rechargement. La batterie au sodium est invraisemblable. Piloté seul à l'occasion de son dernier voyage vers le Pacifique, avant de le garer, toujours seul, dans une grotte.  Blessé, il leur raconte sa vie, car il est en train de mourir, avec ses dernières volontés qu’à son décès, attendre le lendemain pour faire couler le Nautilus devenu tombeau. Il leur offre un coffre contenant une immense fortune en diamants. Puis ils s'adonnent à la construction de leur navire. Mais le volcan de l’île s’est activé Alors qu’ils s’apprêtent à quitter l’île, elle est ravagée par le volcan. Ils sont secourus par le fils du capitaine qui avait laissé Ayrton sur l’île, prévenu de leur présence par son père pour les ramener à terre.», www.interlettre.com, p.1.

 

·  La vie électrique, Albert Robida, Ed. Gloubik, 1900 : ou La maîtrise de l’électricité la grande conquête du siècle et un progrès avec ses limites :

 

          Né en 1848, à Compiègne, en France, et mort en 1926, à Neuilly-sur-Seine, Albert Robida est un écrivain, romancier, dessinateur, lithographe, aquafortiste, caricaturiste et journaliste français. Il étudie pour devenir notaire, mais il s'adonne à la caricature au Journal Amusant et dans diverses revues (1866). En 1880, avec l'éditeur George Decaux, il fonde la revue, La Caricature, qu'il dirige pendant douze ans. Sa renommée s'éclipse après la Première Guerre mondiale. Il est l’auteur de :
Le Vingtième Siècle (1883), La Guerre au vingtième siècle (1887), Le Vingtième Siècle. La vie électrique (1890), etc.

 

La vie électrique,

Albert Robida,

Ed. Gloubik, 1900

 

La maîtrise de l’électricité une grande conquête du siècle

et un progrès avec ses limites

 

    «Dans la société française ultra-scientifique de 1955, la relation qui lie George Lorris, lieutenant de l’armée française, dans le corps des ingénieurs chimistes et fils du grand scientifique et inventeur, Philox Lorris, à Estelle Lacombe. Etant d’une famille de classe moyenne et qu’elle n’a pas brillé par ses succès académiques et scientifiques, le père de celui-ci s’oppose à leur mariage. En tout état de cause, la maîtrise de l’électricité est présentée ici aussi comme la grande conquête du siècle. Il y va de la conquête définitive de l’Électricité, qui a permis à l’homme de changer ce qui paraissait immuable. Vue comme l’inépuisable source de la lumière et une force puissante captive employée à faire marcher d’énormes cumuls de machines colossales des millions d’usines, et de plus subtils mécanismes des transports aériens ou le lacis mondial de tubes électro-pneumatiques, en réseau de câbles aériens ou souterrains sur toute la planète et par des poteaux, initiant de nouveaux plans des villes. Mais sujet de menaces dévastatrices en cas d’orage, comme lors du contact du couple déclenchant une interférence entre leurs téléphonoscopes. Visage de progrès avec ses limites, et n’est pas unanimement accepté.», www.serd.hypotheses.org, p.1.

 

·  Ravage, René Barjavel, Ed. Denoël, 1943, ou : en 2052, une formidable panne électrique, plonge Paris dans le chaos et rend les relations diplomatiques difficiles entre l’Amérique du Nord et du Sud :

 

         Né en 1911 à Lyons, dans le Drôme, en France, et mort en 1985, à Paris, René Barjavel est un écrivain, romancier, journaliste scénariste et dialoguiste français. Il est surtout connu pour ses romans d'anticipation, de science-fiction ou fantastiques sur l'angoisse ressentie devant une technologie que l'être humain ne maîtrise plus. Il est l’auteur de : Roland, le chevalier plus fier que le lion (1942), Ravage (1943), Le Voyageur imprudent (l1944), Tarendol (1946), Le diable l'emporte (1948), Jour de feu (1957), La Nuit des temps (1968), Le Grand Secret (1973), etc.

 

Ravage, René Barjavel,

Ed. Denoël, 1943

 

En 2052, une formidable panne électrique plonge Paris dans le

chaos et rend les relations diplomatiques difficiles entre

l’Amérique du Nord et du Sud

 

     «A Paris, en 2052, dans une France où la Ville prospère, où le Progrès de l’homme éclate, où l’électricité, devenue indispensable, a même remplacé l’agriculture, tout semble possible et l’Homme n’a même plus peur de la mort. Pourtant, après une formidable panne électrique, la ville est brusquement plongée dans le chaos. Une panique effroyable prend les Parisiens, laissant les hommes en proie à leurs instincts les plus primaires : égoïsme, folie, pillages, tuerie, barbarie… ». En arrière-plan, des relations diplomatiques difficiles entre l’Amérique du Nord et l’Empire Sud-Américain semblent se situer sur un point de non-retour. Un univers futuriste, urbain, fondé sur des technologies hyper avancées. La manière dont il dépeint certaines technologies (les OGM, l’agriculture intensive, le nouveau matériau miracle, le plastec, les trains à très haute vitesse…), parfois visionnaire de fait, et par moments si contemporain,

www.zoeprendlaplume.fr, p.1.

 

·  La planète des singes, Pierre Boulle, Ed. La Planète, 1963 : ou trois hommes à bord de leur vaisseau spatial découvrent que la planète proche Bételgeuse est habitée par des singes alors que la terre est dévastée d’une guerre nucléaire

   

         Né en 1912, à Avignon, en France, et mort en 1994, à Paris, Pierre Boulle est un écrivain et romancier français. De complicité avec son père, un avocat excentrique il écrit sur le théâtre dans un journal adorant la littérature, les livres, la chasse et les jeux.  Il a passé son enfance tranquille en famille avec ses sœurs Suzanne et Madeleine, même durant la Première Guerre mondiale. Vers la fin de 1918, il entre dans les petites classes au lycée d'Avignon. En 1926, son père meurt. Adolescent il se voit projeté dans le monde adulte. Son but désormais est de devenir ingénieur avec une formation en Supélec pour aider sa mère. En 1936, il se retrouve dans la forêt tropicale de Malaisie, près de Kuala Lumpur, la capitale, durant trois ans, à travailler comme un forcené dans une plantation d'hévéa, loin de l'Europe. En 1939, la Seconde Guerre mondiale le trouve toujours en Asie. Il s'engage dans la Résistance de la France libre. Il part en mission contre les Japonais, alliés des Allemands, puis en Chine afin de préparer la libération de l'Indochine. En 1942, il est pris par des militaires français du gouvernement de Vichy et condamné aux travaux forcés à perpétuité. En 1944, il s'évade de Saïgon et rejoint la Force 136 du SOE en Asie du Sud-Est à Calcutta. La France libérée par le général de Gaulle, on le couvre de médailles. Il repart pour la Malaisie, où il décide, d’écrire. Il est l’auteur de : Le Pont de la rivière Kwaï (1952), La Planète des singes (1963), etc.

 

La planète des singes,

Pierre Boulle, Ed.

La Planète, 1963

 

Trois hommes à bord de leur vaisseau spatial découvrent que la

planète proche Bételgeuse est habitée par des singes alors

que la terre est dévastée par une guerre nucléaire

 

       «Le savant Antelle, le jeune physicien Arthur Levain, le journaliste et narrateur, Ulysse Mérou qui se demande s’il y a des êtres humains ailleurs que sur la terre, à bord de leur vaisseau spatial découvrent que la planète proche Bételgeuse est habitée par des singes. On y aperçoit des villes, des routes étrangement semblables à celle de la terre. Après s'y être posés, les trois hommes découvrent que la planète est habitée par des singes. Puis, ces derniers le capturent s'emparent et se livrent à des expériences sur lui. Il lui faut faire preuve de son humanité, devant les singes. Des milliers de singes anthropoïdes au bas d'une rampe d'atterrissages, le clament. Mais seule Zira, une guenon lucide, courageuse, sensible à sa manière et femelle primate de son état, aux responsable appréciables en recherche d'éthologie, zoologie parvient à établir le contact avec lui et à entretenir avec lui une relation mutuelle et d'amour impossible, en parallèle indirect mais clair, avec la négation du droit au mariage, entre des noirs et blancs, évoque la ségrégation aux USA et l'apartheid d’Afrique du Sud, ou des sociétés créoles. Des découvertes archéologiques permettent de voir la montée des singes d'une société simiesque assez créoles à plusieurs castes, en fonction des espèces simiesques, assortie à race et aptitudes professionnelles. Quelques chimpanzés plus sensibles et amicaux aideront le dernier homme intelligent à s'enfuir dans la navette intergalactique échouée avec la femme et l'enfant, né de leur accouplement, sur la terre alors dévastée d’une guerre nucléaire.», www.babelio.com, p.1.

 

·  Vies électriques, Dalibor Frioux, Ed. Grasset, 2024 : ou à l’époque d’Oppenheimer au début du XXe siècle l’électricité symbole de progrès scientifique et outils de destruction totalitaire :

 

         Né en 1970, à Paris, Dalibor Frioux est un écrivain, romancier et essayiste français. Ancien élève de l'École normale supérieure, d’Ulm, il est agrégé de philosophie (1993-1998). Il est actuellement enseignant en région parisienne. Il participe au 'Grand dictionnaire de philosophie de Gallimard, codirige '100 000 ans et le 'Dictionnaire de la mort' de Larousse. En 2010, il a dirigé plusieurs rapports du think tank « Terra Nova », sur l'égalité des hommes et des femmes et la consommation dont l'implication des hommes, comme levier dans la lutte pour l'égalité. Il est l’auteur de : Brut (2011), Incident voyageurs (2014), Eloge du sommeil à l'usage de ceux qui l'ont perdu (2017), Vies électriques (2024), etc.

 

Vies électriques,

Dalibor Frioux,

Ed. Grasset, 2024 

 

A l’époque d’Oppenheimer au début du XXe siècle l’électricité symbole

de progrès scientifique et outils de destruction totalitaire

 

     «A l’époque d’Oppenheimer, au début du XXe siècle, l’électricité est symbole de progrès, pour éclairer la nuit, communiquer à distance par téléphone, faire des transmissions radiophoniques. Epris scientifiques et ingénieurs font la course aux découvertes. Dès lors, le jeune Allemand Hans Berger se voue à la recherche médicale pour détecter les ondes d’une mystérieuse énergie psychique, au sein de la télépathie avec sa sœur aînée. Psychiatre quasi mystique boudé, il poursuit ses expériences d’abord rudimentaires sur des crânes trépanés, puis plus exhaustives avec les gueules cassées de la Grande guerre. Dès 1920, en Allemagne en furie, il identifie les ondes alpha et devient le père de l’électroencéphalogramme. D’autres vont plus avant si l’électricité explique la marche du cerveau, elle doit pouvoir le guérir. Le neuropsychiatre juif polonais Zenon Drohocki travaille au Collège de France jusqu’à sa prise par la Gestapo en 1943. Déporté avec sa femme, il bricole un appareil à électrochocs dans l’hôpital de fortune d’Auschwitz-Monowitz pour guérir la mélancolie des détenus voués à la mort, avec des médecins SS. Mais, pour Josef Mengele l’électricité serait de la magie. Aussi entre progrès scientifique de l’humanité et outils de destruction totalitaire, il n’y a qu’un pas. Alors que Hans Berger et Zénon Drohocki font de la recherche une question de vie ou de mort, jusqu’à perdre la vue à ses fins et risques ultimes. Il y va de deux vies en miroir, dans un parcours fatal où la science est happée par les vicissitudes de l’Histoire, www.babelio.com, p.1.

 

      2. En Belgique, 2018 : 

 

         Des aperçus illustratifs des nouvelles sources énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Europe, 1662-2024, citons à titre d’exemples :

 

·  Un été sans dormir Bram Dehouck, Trad. Emmanuèle Sandron, Ed. Mirobole, 2018, ou : à Windhoek petit village belge la municipalité fait installer des éoliennes

au bruit cause d’insomnie libère les instincts et les vengeances :

 

     Né en 1978, à Poperinge, en Belgique, Bram Dehouck est un écrivain et romancier belge flamand. Il vit près de Courtrai en Belgique flamande et il est publié en Allemagne et en Angleterre. Il vit près de Courtrai en Région flamande. Il est l’auteur de : De minzame moordenaar (2009), Un été sans dormir, Een zomer zonder slaap (2011),

etc.

 

Un été sans dormir

Bram Dehouck, Trad.

Emmanuèle Sandron,

Ed. Mirobole, 2018

 

A Windhoek petit village belge la municipalité fait installer des éoliennes

au bruit cause d’insomnie libère les instincts et les vengeances

 

   «Lors d’un été étouffant, à Windhoek, petit village belge sans histoire… Jusqu’au jour où la municipalité fait installer des éoliennes. Ce bruit de pales ne cesse de claquer. Le boucher en perd le sommeil. Plusieurs nuits d’insomnie, devenu végétarien, il pique du nez dans sa spécialité, une recette dont les clients raffolent. Dès lors, par un effet domino aussi logique qu’absurde, les catastrophes s’enchaînent, les instincts se libèrent, et les vengeances s’exercent… Pour le pharmacien, les amants cachés, le jeune désœuvré ou la femme du facteur qui ne pense qu'à pédaler, la fille de Pouseele, fermier du coin, est devenue vétérinaire, rien ne sera plus pareil. Toutes les rancœurs, les frustrations, les jalousies explosent suivant un scénario implacable qui monte en puissance jusqu'à l'acmé finale.», www.babelio.com, p.1.

 

      3. En Allemagne, 1981 : 

 

         Des aperçus illustratifs des nouvelles sources énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Europe, 1662-2024, citons à titre d’exemples :

 

·  FlugascheCendre volante, Monika Maron, Trad. Zakâ-ol Molk-é Forough, Ed. Fischer, 1981, ou : Josefa Nadler, journaliste, divorcée et mère célibataire, chargée d’enquête écologique à Bitterfeld, commune allemande se met à réunir des informations techniques des usines dépassées au dépens de la santé des ouvriers et fait fermer la vieille centrale électrique :

 

Née en 1941, à Berlin, en Allemagne, RDA, Monika Maron est une écrivaine et romancière allemande. Belle-fille d'une personnalité importante de la RDA, elle adhère tôt aux idées et aux organisations de l’Allemagne de l’Est. Elle entre au SED, le parti socialiste unifié, avec l'espoir de pouvoir réformer le parti de l'intérieur (1965). Mais, l'orientation politique et culturelle de la RDA et les désaccords avec son beau-père ont modifié, peu à peu, son attitude envers le parti et le pays jusqu’à la lui faire quitter (1978). Elle sit sa carrière de journaliste, pour le magazine féminin, est-allemand Für dich (1970 -1973) et pour l’hebdomadaire Die Wochenpost (1973-1975). Elle est l’auteure de : Flugasche Cendre volante (1981), Die Überläuferin, La transfuge (1986), Stille Zeile Sechs, (Rue du silence, no.6 (1991), Animal triste (1996), Pawels Briefe (1999), Endmoränen (2002), Ach Glück (2007), Bitterfelden boden. Ein Bericht (2009), Zwei Bruder : Gedanken zur Einheit (2010), etc.

 

FlugascheCendre

volante, Monika

Maron, Trad.

Zakâ-ol Molk-é

Forough, Ed. Fischer,

1981

 

Josefa Nadler, journaliste, divorcée et mère célibataire chargée d’enquête

écologique à Bitterfeld, commune allemande se met à réunir des

informations techniques des usines dépassées au dépens de la

 santé des ouvriers et fait fermer la vieille centrale électrique

 

      «Josefa Nadler, ou Josefa, journaliste, âgée de trente ans, divorcée et mère célibataire, est chargée de faire un reportage écologique sur la ville de B, voire Bitterfeld [v. commune allemande]. C’est pour le magazine Der Illustrierte, qui reprend un article déjà publié et en change le titre et quelques petits détails. Elle se met par contraire à réunir le plus d’informations possibles. Elle y décèle que les modes et techniques de production utilisés dans les usines sont dépassés et que la construction et l’exploitation de l’usine sont faites au dépens de la santé des ouvriers. Luise, rédactrice en chef du magazine, met en exergue la notion de progrès, est remise en cause. Or, les articles sur la ville chaque semaine dans la presse, relatent des faits positifs, sans nulle mention sur la pollution, ni sur la centrale électrique, ni sur les chambres de réception des cendres qui y sont la pire menace. La population consciente de la situation, mais résignée. Censurée, elle se heurte à de nombreux barrages dans son travail d’investigation et dans son travail d’écriture. Cela lui a valu une sanction, mais la parution de l’article a porté ses fruits, car le Conseil supérieur a décidé la fermer la vieille centrale électrique de B.», www.journals.openedition.org, p.1.

 

      4. En Angleterre, 1914-2013 :

 

         Des aperçus illustratifs des nouvelles sources énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Europe, 1662-2024, citons à titre d’exemples :

 

·  La Destruction libératrice, The World Set Free, H. G. Wells, Trad. Patrick Delperdange, Ed. Macmillan & Co, 1914 : ou la terre une planète terrassée par une guerre et une explosion atomique :

 

        Né en 1867, à Atlas House, au 47 High Street de la ville de Bromley, près de Londres, et mort en 1946, à Londres, en Angleterre, H. G. Wells, ou Herbert George Wells, est un écrivain et romancier anglais.  Il est le quatrième et dernier enfant de Joseph Wells, un jardinier devenu joueur de cricket professionnel et commerçant, et de Sarah Neal, une ancienne domestique. Un héritage permet à la famille de racheter un magasin de porcelaines et d'articles de sport dont elle tire un petit revenu, complété par les cachets de joueur du père pour le Kent County Cricket Club. En 1874, il fait un accident qui l'oblige à rester alité avec une jambe cassée. Il se voue à la lecture et à l'écriture. La même année, il entre à la Thomas Morley's Commercial Academy, une école privée fondée (1849). Il y poursuit sa scolarité jusqu'en 1880. Mais en 1877, son père se casse la jambe et quitte sa carrière sportive, et une part des revenus familiaux. Il est privé du soutien financier familial.  On place les garçons comme apprentis dans différents métiers. En 1879, sa mère s'arrange, par un parent éloigné, le fait entrer l'école nationale de Wookey, au Somerset comme 'élève-enseignant. Pour gagner de l'argent, il écrit pour des revues, telles que The Pall Mall Gazette. Il est l’auteur de : La Machine à explorer le temps, The Time Machine (1895), L'Île du docteur Moreau, The Island of Doctor Moreau (1896), L'Homme invisible, The Invisible Man (1897), La Guerre des mondes, The War of the Worlds (1898), Les Premiers Hommes dans la Lune, The First Men in the Moon (1901), La Destruction libératrice, The World Set Free (1914), etc.

 

La Destruction libératrice,

The World Set Free, H. G.

Wells, Trad. Patrick

Delperdange, Ed. Macmillan

& Co, 1914

 

La terre une planète terrassée par une guerre et une explosion atomique

 

     «Ecrite, en 1913, cette fiction décrit une planète terrassée par une guerre annonçant bien sûr le drame de 1914-1918 mais aussi le second conflit mondial. H. G. Wells est le premier à décrire une explosion atomique. Et il va encore plus loin en posant des questions qui sont aujourd’hui au cœur de notre actualité : consommation abusive d’énergie, destruction de la nature, mise en place d’un « nouvel ordre mondial » – expression qu’il est d’ailleurs le premier à employer. Wells pressent ainsi l’accélération de la mondialisation dont nous mesurons actuellement l’inquiétante puissance. C’est donc une expérience unique que propose la réédition de ce texte : celle d’une lecture fascinante qui dessine les contours d’une catastrophe dont nous sommes aujourd’hui à la fois les acteurs et les victimes. Car il y va d’une performance de science-fiction littéraire.», www.lisez.com, p.1.

 

·  1984, George Orwell, Trad. Josée Kamoun, Ed. Gallimard, 1972, ou : En 1984, les guerres nucléaires ont divisé le monde en Eurasia, Estasia et Oceania et Big Brother, Grand Frère, un ordinateur gigantesque humanoïde traque la vie de tout un chacun :

 

        Né en 1903, à Motihari, en Inde, et mort en 1950, à Londres, en Angleterre, George Orwell, ou vrai Eric Arthur Blair, est un écrivain, romancier et journaliste anglais. Fils d'un fonctionnaire de l'administration des Indes, chargé de la Régie de l'opium, il obtient une bourse Collège d'Eton, la plus prestigieuse des public schools (1917-1921). En 1922, il opte pour une carrière militaire afin de partir en Orient, mais son expérience de sergent en Birmanie va lui révéler la cruauté de l’impérialisme britannique et il en démissionne (1927). Il décide de s’adonner à l’écriture. Il vit de petits métiers, à Londres et à Paris (1928). Atteint d’une pneumonie, sa santé se dégrade. En 1935, il rencontre Eileen O'Shaughnessy, qu'il épouse (1936). il part avec sa femme, en Espagne, pour écrire sur la guerre civile, et prendre part aux combats, où il est blessé par balle à la gorge et retourne à Londres. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il devient producteur à la BBC, puis directeur des pages littéraires de l'hebdomadaire de la gauche travailliste "The Tribune (1941-1943). En 1945, il a démissionné de la Tribune, devient envoyé spécial de "The Observer" en France et en Allemagne, chargé de commenter la vie politique. En 1945, il devient vice-président du "Freedom Defense Committee. En 1949, gravement malade de la tuberculose, il épouse en secondes noces Sonia Brownell. Il est l’auteur de : Dans la dèche à Paris et à Londres (1933), Hommage à la Catalogne, Homage to Catalonia (1938), La Ferme des animaux (1949), 1984 (1945), etc.

 

1984, George Orwell,

Trad. Josée Kamoun,

Ed. Gallimard, 1972

 

En 1984, les guerres nucléaires ont divisé le monde en Eurasia, Estasia

et Oceania et Big Brother, Grand Frère, un ordinateur gigantesque

humanoïde traque la vie de tout un chacun

 

    «En 1984, les guerres nucléaires ont divisé le monde en trois blocs : l’Eurasia, l’Estasia et l’Oceania. Big Brother, Grand Frère, une sorte d'ordinateur gigantesque humanoïde qui traque l'intimité de tout un chacun dans un proche avenir, est à la tête de l’Oceania, société totalitaire dominée par la surveillance, le mensonge et la manipulation. Un jour, Winston Smith, employé du ministère de la Vérité, finir par comprendre les pratiques douteuses du Parti… Winston refuse cependant de perdre espoir. Il entame une liaison secrète et hautement dangereuse avec l'insoumise Julia et tous deux vont tenter d'intégrer la Fraternité, une organisation ayant pour but de renverser Big Brother. Les petites victoires de couple rebelle sont trop simples, trop faciles, et augurent que l’entreprise va mal tourner. L'Angleterre de cette fiction sort ravagée en profondeur d'une guerre nucléaire avec l'est, la guerre va continuer, reprendre, alors qu'un état scientifique totalitaire s'efforce d'orchestrer un contrôle de chaque instant sur des populations dont même l'esprit est forgé activement par le régime.», www.babelio.com, p.1.

 

·  Temps futurs, Aldous Huxley, Trad. Hélène Cohen, Ed. Pocket 2013, ou : en 2108, la Ille Guerre mondiale est finie depuis plus d'un siècle les dégâts atomiques et l'humanité, annihilée par les massacres chimiques et bactériologiques a subi une irréversible mutation :

 

        Né en 1894, à Godalming, en Surrey, en Angleterre, et mort en 1963, à Los Angeles, en Californie, aux USA, Aldous Huxley, ou Aldous Leonard Huxley est un écrivain, romancier et philosophe anglais.  Il est né dans une famille appartenant à l'élite intellectuelle britannique, petit-fils de Thomas Henry Huxley, célèbre biologiste, le frère de Julian Huxley, premier directeur de l'Unesco et le fils de l'écrivain et herboriste Leonard Huxley. Il perd sa mère, en 1908, et son frère ainé Trev, suicidé (1914). En 1910, il attrape une maladie des yeux le rendant presque aveugle. Rétabli, grâce à la méthode Bates (1942), il étudie la littérature anglaise au Balliol College d'Oxford et obtient son diplôme. Il se lie e d'amitié avec D. H. Lawrence, Lytton Strachey, Bertrand Russell. Il donne des cours de français à Eton College et se tourne vers l'écriture. En 1914, journaliste, critique musical et critique d'art, il voyage en Europe. En 1919, il épouse une réfugiée belge, Maria Nys (1899-1955).  Installés à Londres, ils voyagent en Inde et aux USA. En 1920, ils vont vivre en Italie. En octobre 1928, la famille s’installe à Suresnes près de Paris. En 1937, la famille embarque pour les États-Unis et y devient scénariste pour Hollywood. Il est l’auteur de : Contrepoint, Point Counter Point (1928), Le meilleur des mondes, Brave New World (1932), Temps futurs (1949), Les portes de la perception (1963), Retour au meilleur des mondes (1978), etc.

·  Temps futurs, Aldous Huxley, Trad. Hélène Cohen, Ed. Pocket 2013, ou : en 2108, la Ille Guerre mondiale est finie depuis plus d'un siècle les dégâts atomiques et l'humanité, annihilée par les massacres chimiques et bactériologiques a subi une irréversible mutation :

 

Temps futurs, Aldous

Huxley, Trad. Hélène

Cohen, Ed. Pocket

2013

 

En 2108, la IIle Guerre mondiale finie depuis plus d'un siècle les dégâts

atomiques et l'humanité, annihilée par les massacres chimiques

et bactériologiques a subi une irréversible mutation

 

     «En l'an 2108, la Ille Guerre mondiale a pris fin depuis déjà plus d'un siècle mais les stigmates de ses destructions atomiques n'ont pas disparu et l'humanité, anéantie par les massacres chimiques et bactériologiques, a subi une irréversible mutation. A la découverte d’une nouvelle espèce animale à l'instinct sexuel saisonnier, le professeur Poole se lance, en tant que spécialiste néo-zélandais de botanique, dont l'île-continent et a une partie de l'Afrique ont été miraculeusement épargnées. Et à la redécouverte de l'Amérique par une expédition de scientifiques néozélandais qui débarquent dans une Californie habitée par des êtres humains survivants des retombées nucléaires. Ils y vouent un culte à Bélial, en immolent les nouveau-nés mal formés, lors de cérémonies annuelles dévolues aux accouplements, hors la loi. Il y va d’un scénario à travers lequel survient l’étude du pays providentiellement sauvé de la destruction, nucléaire, relatant avec une force indépassable l'un des avenirs de cauchemars énergétiques qui hantent encore le monde au cours du troisième millénaire.», www. babelio.com, p.1.

 

II. Aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans

les romans de science-fiction dans le monde, en Afrique : 1988-2017

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      Des aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Afrique : 2015-2017, Abd El Khadr Hamza: «Notre analyse des représentations de l’Afrique en science-fiction commence par les représentations historiques et politiques du continent. […] Dans une volonté d’anticipation [v. les nouvelles sources d’énergies dans les romans de science-fiction dans le monde], pour donner une grande crédibilité à sa vision, Léonora Miano développe un regard historique plus global qui inclut les pays du Nord du Katiopa. Elle évoque à leur sujet, à maintes reprises, un Sinistre finalement peu explicité […] Le Sinistre est associé à des catastrophes climatiques également peu explicitées, sans doute en lien avec la crise écologique que nous connaissons présentement.», Op.cit., p.1. D’où les exemples d’aperçus illustratifs en Afrique suivants :

 

·  Les yeux du volcan, Sony Labou Tansi, Ed. Seuil, 1988, ou : le maître au monde est celui qui invente la générosité des autres en matière de nouvelles énergies anti-pollution :

 

          Né en 1947, à Kinshasa, au Congo, et mort en 1995, à Brazzaville, Sony Labou Tansi, ou Marcel Sony, est un écrivain et romancier congolais.  Ancien professeur d'anglais, il devient aussi la fois dramaturge, et poète. Aîné de sept enfants, il apprend le français à l'école, puis étudie à l'École Normale Supérieure d'Afrique centrale (ENSAC). À partir de 1971, il enseigne le français et l'anglais à Kindamba, puis à Pointe-Noire. Il est l’auteur de :  La Vie et demie (1979), L'État honteux (1981), Lèse-majesté (1982), L'Anté-peuple (1983), Les Sept Solitudes de Lorsa Lopez (1985), Les Yeux du volcan (1988), Le Coup de vieux (1988), Le Commencement des douleurs 1995), etc.

Les yeux du volcan,

Sony Labou Tansi,

Ed. Seuil, 1988

 

Le maître au monde est celui qui invente la générosité des autres

en matière de nouvelles énergies anti-pollution

 

     «Le maître au monde n'est pas celui qui commande, avance le héros narrateur, ni même pas celui qui a raison en tant qu’intellectuel engagé. Le chef, c'est celui qui invente la générosité des autres, par exemple en matière de nouvelles énergie anti-pollution. De cette manière, pense-t-il participe aux enjeux de son époque de crise climatique. Il s’interroge précisément, sur ces enjeux, en citant le pain, la liberté, la justice par exemple. Car à son avis tout est conditionné ou confisqué par le pouvoir d'une Afrique postcoloniale. Alors, quelle position adopter par le citoyen concerné qu’il est. Faire semblant d'adhérer au simulacre de gouvernance de la nature ou lutter en espérant mieux, au risque d'en faire le prix. Il finit par se dire qu’il avait beau s’y être intéressée et a fini par s'y perdre à regret. », www.babelio.com, p.1.

 

·  Cantique de l'acacia, Kossi Efoui, Ed. du Seuil, 2017, ou : En Afrique une fille bébé posée sur un radeau et confiée au fleuve dont la lumière intérieure est comme énergie avec les pulsations du soleil :

 

        Né en 1962, à Anfoin, au Togo, Kossi Efoui est un écrivain et romancier togolais. Il est également dramaturge, chroniqueur, pour Jeune Afrique. Etudiant en philosophie à l'université de Lomé, il prend part au mouvement de contestation. Ses activités politiques lui valent quelques ennuis avec les autorités de son pays et pour l'exil, et s'installe en France. Il est détaché du panafricanisme et de la négritude. En 2023, il se voit à l’université de Lomé et sa Faculté des Lettres, Langues et Arts, qui lui décerne un diplôme d'excellence en tant qu'un ancien étudiant et pour l'ensemble de ses œuvres à travers le monde littéraire. Il est l’auteur de : Une magie ordinaire (2023), Cantique de l'acacia (2017), L'ombre des choses à venir (2011),

 

Cantique de l'acacia,

Kossi Efoui, Ed.

du Seuil, 2017.

 

En Afrique une fille bébé posée sur un radeau et confiée au fleuve dont la

lumière intérieure est comme énergie avec les pulsations du soleil

 

     «Cela se passe en Afrique et restitue le parcours vers la liberté individuelle de trois femmes révoltées, dans une Afrique écartelée entre la culture imposée par l'occident et l'héritage traditionnel, et traversée par toutes sortes de conflits. Une enfant, posée sur un radeau, et confiée à un fleuve pour être sauvée. Elle est recueillie par une femme, journaliste, qui l’adopte comme la fille qu'elle attendait, celle que sa belle-mère, devineresse avait promise. Selon les croyances en vigueur, c'était le même enfant qui repartait et revenait, s'incarnait et se réincarnait jusqu'à ce que, enfin, sa respiration s'accorde avec le rythme du monde, son souffle avec l'atmosphère de la terre, sa lumière intérieure comme énergie avec les pulsations du soleil.», www. babelio.com, p.1.

 

III. Aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans

les romans de science-fiction dans le monde, en Asie : 2009-2024

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      Des aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Asie : 2009-2024, Philippe Postel révèle : «En 2015, le « pari scientifique » Écolitt, associant les laboratoires des universités de Nantes, Angers et Le Mans, consistait à se demander si, en dehors des États-Unis où l’éco-critique s’est constituée en champ de recherche littéraire […]. La question se pose pour l’Europe mais elle s’impose encore davantage pour l’Asie, le continent qui contribue le plus aujourd’hui à la dégradation de l’environnement, mais qui subit aussi les conséquences les plus sévères de la pollution mondiale [v. les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde]. […] Les œuvres étudiées s’emploient tout d’abord à décrire les méfaits environnementaux [v. ici les nouvelles sources d’énergies dans les romans de science-fiction dans le monde], comme la catastrophe de Bhopal en Inde, la contamination des rivières en Chine ou le continent de plastique parvenant sur la côte taïwanaise. De façon plus ou moins explicite, les auteurs, romanciers […], entendent dénoncer ceux qui sont à l’origine de ces atteintes à l’environnement, qu’il s’agisse de responsables locaux ou de pays extérieurs, en particulier certains pays occidentaux.» - «Imaginaires de l’environnement en Asie (Inde, Chine, Taïwan), www.lamo.univ-nantes.fr, p.1. D’où les exemples d’aperçus illustratifs en Asie suivants :

 

·  Le Convoi de l'eau, Akira Yoshimura, Trad. Yutaka Makino, Ed. Actes Sud, 2009, ou : construire un barrage en haute montagne pour produire de l’électricité le village est terré sous les eaux et sa petite communauté condamnée à l'exil :

 

         Né en 1927, à Tokyo, au Japon, et mort en 2006, à Mitaka, à la Préfecture de Tokyo, Akira Yoshimura est un écrivain et romancier japonais. D’une famille assez aisée de dix enfants, il est adolescent à la fin de la seconde guerre mondiale, quand il perd son frère, dans les combats en Chine. Il était marié à l'écrivaine Setsuko Tsumura (1928). Il a été Président de l'union des écrivains japonais. Il est l’auteur de : Naufrages (1982), La guerre des jours lointains (1978), Liberté conditionnelle (1988), Voyage vers les étoiles (1966), Hagoku (1984), etc.

 

Le Convoi de l'eau,

Akira Yoshimura,

Trad. Yutaka Makino,

Ed. Actes Sud, 2009

 

Construire un barrage en haute montagne pour produire de l’électricité le village

est terré sous les eaux et sa petite communauté condamnée à l'exil

 

    «Un homme étrange s'est engagé au sein d'une équipe chargée de construire un barrage en haute montagne susceptible de produire de l’électricité. Enfoncé dans la brume, au fin fond d'une vallée mal connue et difficilement accessible, se dressent les contours d'un village. Les travaux ne sont pas remis en cause par cette découverte, car le village a été terré sous les eaux. Au sein du terrible chantier, alors que la dynamite brise la montagne et secoue les maisons, le sort du narrateur entre en écho avec celui de la petite communauté condamnée à l'exil. En outre, il y va d'un sujet cruel, celui de l'expropriation d'habitants d'un village installés sur cette terre, depuis des centaines d'années, en contrepartie de grosses sommes d'argent dont ces gens, coupés de l'extérieur, n'en ont que faire ou ne sauront bien utiliser. Les chasser, c'est ainsi les condamner à mort.», www.babelio.com, p.1.

·  Dimension W 1, Yuji Iwahara, Trad. Jean-Benoît Silvestre Ed. Ki-oon, 2014, ou : Kyoma Mabuchi se détourné de la nouvelle technologie d’énergie renouvelable en découvrant que celle-ci pourrait bien conduire l’humanité à sa perte :

 

         Né en 1990, à Memanbetsu Ōzora, à l’île de Hokkaidō, à Hokkaido, au Japon, Yuji Iwahara et un écrivain, romancier, dessinateur, illustrateur japonais. Il est aussi un manga nippon Ayant obtenu son diplôme d'école d'art, il a rejoint Hudson soft, en tant que graphiste. Il est l’auteur de : Hebi (1996), L'Œil du loup (1997), Tetsu no Seiki (1998), Le Monde de Misaki (2002), Hyōchaku buttai X Yōkoso ! (2005), Dimension W 1, etc.

 

Dimension W 1,

Yuji Iwahara, Trad.

Jean-Benoît Silvestre

Ed. Ki-oon, 2014

 

Kyoma Mabuchi se détourné de la nouvelle technologie d’énergie renouvelable

en découvrant que celle-ci pourrait bien conduire l’humanité à sa perte

 

     «Kyoma Mabuchi a tourné le dos à la nouvelle technologie d’énergie renouvelable. Alors que l’humanité vient de trouver la solution à tous les problèmes d’approvisionnement en énergie. Les coils, des bobines électromagnétiques fournissent des ressources énergétiques inépuisables, elle a relégué batteries et autres câbles au rang d’antiquités. Quant à lui, amoureux des bonnes vieilles voitures à essence, il choisit passer son temps à rafistoler ses bolides. Pour gagner son pain quotidien, il est chasseur de primes d’un genre nouveau qui s’est spécialisé dans la récupération des coils illégaux, qui ont été détournés de leur usage de base, et qui peuvent se transformer en armes redoutables. Alors qu’il enquête sur deux petites frappes des bas quartiers, son chemin croise celui de Mira, une mystérieuse prisonnière dont le destin semble intimement lié aux coils. À ses côtés, Kyoma va vite découvrir que cette technologie miraculeuse pourrait bien conduire l’humanité à sa perte.», www.babelio.com, p.1.

 

·  L'Ère de la supernova, Liu Cixin, trad. Gwennaël Gaffric, Ed.  Actes Sud, 2024, ou :  une supernova, une étoile qui, après cinq cents millions d’années, finit par une explosion d’énergie endommageant l’ADN des adultes sur terre :

 

       Né en 1963, à Yangquan, dans la province du Shanxi, en Chine, Liu Cixin, ou Lieou Ts'eu-sin, est l'écrivain et romancier chinois. Dans sa vie civile, il a étudié à l'université de Chine du Nord sur la conservation de l'eau et l’énergie électrique, qu'il quitte en 1988, et travaille comme ingénieur dans une centrale électrique à Yangquan de Shanxi. Il est marié et a une fille. Il est l’auteur de : Le Problème à trois corps (2015), La Mort immortelle (2017), Boule de foudre, Ball Lightning (2018), Supernova Era (2019), Chine 2185 (2023), etc.

 

L'Ère de la supernova,

Liu Cixin, trad. Gwennaël

Gaffric, Ed.  Actes Sud,

2024

 

Une supernova, une étoile qui après cinq cents millions d’années

finit par une explosion d’énergie endommageant l’ADN

des adultes sur terre

 

    «Une supernova, après cinq cents millions d’années d’existence, une étoile inconnue de la constellation du Cocher finit son existence par une spectaculaire explosion d’énergie. Elle déclenche des tempêtes de radiations qui touchent bientôt la Terre et y endommagent grièvement l’ADN de tous les êtres vivants. Les études scientifiques prouvent néanmoins que ces dommages ne sont pas irréversibles pour les individus de moins de treize ans, dont le corps est en mesure de restaurer l’ADN. Les enfants seront donc les seuls survivants de l’espèce, et leur tour sera bientôt venu de veiller à la destinée du monde. Se sachant condamnés, les adultes s’empressent de transmettre à leurs enfants les connaissances et les savoirs nécessaires au bon fonctionnement du monde. Mais les humains de l’Ère de la supernova ne vont peut-être pas se contenter du legs de leurs prédécesseurs. Il y va d’une passionnante fable philosophique et mise en garde contre les risques cosmiques de l’énergie nucléaire.», www.gruznamur.com, p.1.

 

IV. Aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans

les romans de science-fiction dans le monde, en Océanie : 2019-2022

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      Des aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Asie : 2019-2022, Peter Brown indique : «Le Bush apparaît dans toute la fiction australienne [v. en d’Océanie]. Souvent traité en personnage à part entière, il se présente d’abord comme un lieu de vision [v. les nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde]. […] Ce n’est peut-être qu’en 1973, après que Patrick White (The Tree of Man, 1955 ; Voss, 1957) s’est vu décerner le Prix Nobel de Littérature, que la scène internationale l’a véritablement reconnue. […] La littérature australienne contemporaine offre un regard unique sur les temps modernes. Dans The Slap (2008)/La Gifle (2010), Christos Tsiolkas se penche sur la vie (sub)urbaine d’une société multiculturelle en évolution. Enfin, l’immensité et l’isolement rémanents de la terre rouge, décor étrange, parfois irréel, apparaissent comme la scène idéale pour révéler la condition de l’homme, enfermé dans un temps et un espace qu’il ne parvient pas à saisir – Nevil Shute, On the Beach [v. à la suite à une guerre nucléaire]  (1957)/Le dernier rivage (1968) ; David Malouf, The Great World (1990) ; Richard Flanagan, Death of a River Guide (1994) ; Tim Winton, The Turning [v. protection de l'environnement] (2005)/Angelus (2006) ; ou encore Charlotte Wood, The Natural Way of Things (2015)/La Nature des choses (2017).» - «L’essentiel pour comprendre l’Australie», www.maison-de-la-melanesie-pauldedeckker.com pp.13-170. D’où les exemples d’aperçus illustratifs en Océanie suivants :

 

·  Diaspora, Greg Egan, Trad. Francis Lustman, Ed. Belial, 2019, ou : A la fin du XXXe siècle, l’humanité tripartite face à un déluge de rayons gamma, reliquat d’une catastrophe stellaire, et la Terre est victime d’une guerre nucléaire sans merci :

 

        Né en 1961, à Perth, en Australie, Greg Egan est un écrivain et romancier australien. Il est diplômé de mathématiques de la University of Western Australia. En 2002, il arrête d’écrire quelques années et s'engage dans l'aide aux réfugiés en Australie. Il est l’auteur de : An unusual angle (1983), Notre-Dame de Tchernobyl (1996), Axiomatique (1997), L'Enigme de l'univers (1998), Cocon (1999), Etoiles vives (2000), Schild’s ladder (2002), Radieux (2007), Diaspora (2008), Océanique (2009), Zendegi (2010), The clockwork rocket (2011), Gloire (2012), Cérès et Vesta (2017), Une Heure-Lumière (2021), Instanciations (2024), etc.

 

Diaspora, Greg

Egan, Trad.

Francis Lustman,

Ed. Belial, 2019

 

A la fin du XXXe siècle, l’humanité tripartite face à un déluge de rayons

gamma, reliquat d’une catastrophe stellaire, et la Terre est victime

d’une guerre nucléaire sans merci

 

      «A la fin du XXXe siècle, l’humanité est tripartite, le temps des prodiges et de tous les possibles. Mais un déluge de rayons gamma, reliquat d’une lointaine catastrophe stellaire, menace de stériliser la Terre victime d’une guerre nucléaire sans merci. Il y va de la disparition de toute forme de vie et de civilisation, humanité comprise, malgré et ses formes avancées de technologies.  Il y a d’abord les enchairés, ceux qui s’approchent le plus, certes, de ce qu’a été l’homo sapiens, qui vivent au sein des jungles terriennes et des océans, leurs corps de chair et d’os sont mortels, mais leur génome modifié leur assure une longévité sans égale. Et sur la Lune et divers astéroïdes se trouvent les gleisners, des créatures composites, androïdes potentiellement immortelles. Enfin, dans les entrailles chromées de superordinateurs au potentiel de calcul inimaginable, vivent les citoyens des polis, personnalités numérisées, libérées de toute contrainte charnelle, entre des murs intangibles de cités sans limite. Arrive alors l’heure du grand départ de la Diaspora, sans savoir où, comment, alors que le temps soudain presse, augurant du sort de la posthumanité.», www.leschroniques duchroniqueur.wordpress.com, p.1.

 

·  Triple Zéro, Madeleine Watts, Trad. Brice Matthieussent, Ed. Rue de l’échiquier, 2022, ou : Face à une vague de chaleur des énergies fossiles en l’Australie

la narratrice standardiste dans un service d’urgence fait le parallèle entre le sort des femmes et de la Terre, un écoféminisme, né aux Etats-Unis, en 1960 :

 

          Née en 1972, à Sydney, Madeleine Watts est une écrivaine, romancière et essayiste australienne. Elle a grandi à Sydney et vit aujourd'hui à New York. Elle est titulaire d'un MFA d’écriture de l'Université Columbia à New York et d'un BA (Hons I) en littérature anglaise de l'Université de Sydney. Elle enseigne aux universités Columbia et Johns Hopkins. Elle a grandi à Sydney et à Melbourne. Après avoir vécu plus d'une décennie à New York, elle va à Berlin. Elle est l’auteure de :  Triple zéro (2022), etc.

 

Triple Zéro,

Madeleine Watts,

Trad. Brice Matthieussent,

Ed. Rue de l’échiquier, 2022

 

Face à une vague de chaleur des énergies fossiles en l’Australie

la narratrice standardiste dans un service d’urgence fait

le parallèle entre le sort des femmes et de la Terre,

un écoféminisme né aux Etats-Unis en 1960

 

      «L’héroïne narratrice fait face à une vague de chaleur qui pèse sur l’Australie, comme conséquences directes de la crise climatique. Et pourtant, il s’agit d’un pays continent, lui aussi secoué par les conséquences de la crise climatique. Des canicules, aux inondations violentes en passant par les catastrophes naturelles extrêmes. Celle-ci est une étudiante en littérature, travaille comme standardiste au sein d’un service d’urgence. Durant l’été, elle reçoit des appels de tout le pays, lui indiquant les incendies et autres orages qui frappent de plus en plus fréquemment le pays, sur fond de réchauffement climatique des énergies fossiles. Elle esquisse un parallèle entre le sort réservé aux femmes et à la Terre, dont l’écoféminisme.  Né en 1960 aux Etats-Unis, ce mouvement lutte contre le modèle énergétique sociétal actuel à l’origine d’une surexploitation de la Terre et des femmes. Elle est malmenée, écorché, agressé, bousculé, dans le même temps d’un monde qui brûle, elle révèle constamment, les corps comme la terre vulnérable, sur la brèche de la catastrophe en cours, qui semble même inévitable.», www.natura-sciences.com, p.1.

 

V. Aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans

les romans de science-fiction dans le monde, en Amérique : 1972-2013

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      Des aperçus illustratifs des nouvelles sources d’énergies renouvelables dans les romans de science-fiction dans le monde, en Amérique : 1972-2013, Dorian de Schaepmeester estime : «Avec l'augmentation de la menace induite par le réchauffement climatique et l'impact de l'activité humaine sur ce phénomène l'écofiction est devenu un type de romans à part entière, et trouve une résonance particulière dans la science-fiction.  […] Dans la saga Blade Runner, les champs ont laissé place à des plaines grisâtres de panneaux solaires, ou des cités verticales dans lesquelles la lumière du Soleil ne perce pas, tandis que dans la série […], une guerre nucléaire [v. ici les nouvelles sources d’énergies dans les romans de science-fiction dans le monde] a détruit les États-Unis (et probablement le reste du monde), ne laissant qu'une terre infertile et hostile à la vie.» - «L'écologie, thématique majeure dans la science-fiction», Op.cit., p.1. D’où les exemples d’aperçus illustratifs en Amérique suivants :

 

·  Fulgurs, t. 1 : Triplanétaire, Edward Elmer Smith, Ed. Albin Michel, 1972, ou : après une guerre nucléaire, la Terre devenue une démocratie gouvernée par une instance militaire et le commerce galactique est en proie aux pirates :

 

        Né en 1890, à Sheboygan, au Wisconsin, et mort en 1965, à Seaside, en Oregon, aux USA, Edward Elmer Smith, ou Edward Elmer Smith, Ph.D., E.E. « Doc » Smith, Doc Smith ou « Skylark » Smith, est un écrivain et romancier américain. La New England Science-Fiction Association a créé en en son nom, le Prix E. E. Smith Memorial, surnommé Skylark Award (1966). Il a travaillé d'abord manœuvre, à l'âge de dix-neuf ans, jusqu'à sa blessure au poignet en tentant d'échapper d’un incendie. Il suit les cours de l'Université de l'Idaho et a été intégré dans une classe préparatoire (1907). En 1914, il sort diplômé de l'Université en ingénierie de la chimie. Il est aussi président du Club de Chimie de l'Université, du club d'échecs, du Club de guitare et de mandoline et a chanté dans des opérettes de Gilbert et Sullivan. Il a travaillé comme chimiste lors de son service civil au National Bureau of Standards de Washington, D.C., des normes en matière de beurre et d'huîtres. Il a servi comme lieutenant dans la cavalerie américaine lors de la Première Guerre mondiale. Docteur en chimie, il devient chef pour la société F.W. Stock & Sons de Hillsdale, dans le Michigan des recettes de beignets (1919). Il est l’auteur de : La Curée des astres (1920), Skylark three (1930), Spacehounds of IPC (1931), Skylark of Valeron (1934), Fulgur (1936), Skylark Duquesne (1965), etc.

Fulgurs, t. 1 :

Triplanétaire,

Edward Elmer Smith

Ed. Albin Michel, 1972

 

Après une guerre nucléaire, la Terre devenue une démocratie, gouvernée par

une instance militaire et le commerce galactique est en proie aux pirates

 

     «Le commerce galactique est en proie aux pirates. Un vaisseau pirate, dirigé par Roger, est fait prisonnier sur la planète Névia, dont les habitants sont une espèce amphibie intelligente. Avec une vision cosmique à l'échelle des galaxies et des milliards d'années où l'on voit apparaître les deux races supérieures qui vont jouer le rôle de deus ex machina tout au long de la saga : il y a les bons Arisians (humanoïdes) et les méchants Eddoriens (étrangers absolus), deux clans hostiles l’un à l’autre.  Ensuite on plonge dans l’espace de batailles spatiales, aliens, planètes baroques et les exploits des proto Fulgurs. Alors que la Terre, après une guerre nucléaire, est devenue une démocratie, gouvernée par une instance militaire plus ou moins occulte. Cela s’achève par un combat d’arts martiaux ente le pirate Costigan ultra-rapide qui esquive un coup de savate manquant de peu son but. Et deux mains, comme les mâchoires d'un piège referment sur la cheville encore levée en la tordant férocement presque au même instant. S’en suit un hurlement étouffé d’un violent coup de bottes d’un objectif soigneusement choisi. Et Le pirate était hors de combat de façon définitive et permanente.», www.babelio.com, p.1.

 

·  Terminator, La Guerre du jugement dernier, James Cameron, Ed. Pocket, 1984, ou : Les rescapés de la guerre nucléaire a tué trois milliards d'êtres humains en août 1997, doivent affronter la guerre contre les machines humanoïdes :

 

     Né en 1954, à Kapuskasing, au Canada, James Cameron est un écrivain, romancier, réalisateur, scénariste, producteur et explorateur de fonds marins canadien. Il habite en Nouvelle-Zélande. Il possède sa propre société de production, Lightstorm Entertainment. Il a aussi participé à la création de la société d'effets spéciaux Digital Domain.  Il est l’auteur de :  Terminator, La Guerre du jugement dernier (1984), Aliens, le retour (1986), Abyss (1989), Terminator : Le Jugement dernier (1991), True Lies (1994), Titanic (1997), Avatar (2009), Avatar : La Voie de l'eau (2022), etc.

 

Terminator, La Guerre

du jugement dernier,

James Cameron, Ed.

Pocket, 1984

 

Les rescapés de la guerre nucléaire a tué trois milliards d'êtres humains en

août 1997, font face à la guerre contre les machines humanoïdes

 

     «Les rescapés de la guerre nucléaire, ou la Guerre du jugement dernier, qui a coûté la vie Trois milliards d'êtres humains le 29 août 1997. Ils doivent affronter un nouveau cauchemar, la guerre contre les machines humanoïdes. Or, la nouvelle mission de Terminator est de sauver l'humanité de l'holocauste total.  Son adversaire cette fois-ci est un nouveau terminator, le T. 1000. Plus perfectionné, plus sophistiqué, plus méchant, il est constitué de métal liquide, qui lui permet à volonté de se transformer en lame, en flaque, en crochet d'acier. Il est alors une cible impossible à atteindre en quelque sorte. Commence ainsi une guerre sans merci menaçant d’extinction sur terre le reste de l’humanité.», www.noosfere.org, p.1.

 

·  Les Dieux eux-mêmes, Isaac Asimov, Trad. Jane Fillion, Ed. Gallimard, 2002, ou : Lamont cherche à démontrer la dangerosité de la pompe à électrons d’une

l'humanité une énergie à priori illimitée inventée par Hallam, en 2100 :

 

      Né en 1920, à Petrovitchi, en Russie, et mort en 1992, à New York, aux USA, Isaac Asimov est un écrivain et romancier américain. Issu d’une famille juive, il émigre, à l'âge de trois ans, avec ses parents, sa sœur cadette (1923). Il est naturalisé (1928). Il a travaillé dans le magasin familial et à l’âge de onze ans, il se met à écrire. Ses brillantes études lui ont permis, d’avoir une bourse, d’entrer à l’université Columbia. Il obtient une licence en sciences (1939), une maîtrise en chimie (1941) et un doctorat en biochimie (1948). Il devient chargé de cours à l’université de Boston. Il participe caporal à la Seconde Guerre mondiale. Il se marie avec Gertrude Blugerman (1942-1973). Divorcé en, il se remarie avec Janet Opal Jeppson. Au cours de sa brève carrière militaire, il commence à écrire. Il est l’auteur de : Les robots (1950), Les cavernes d'acier (1954), Un défilé de robots (1967), Les Dieux eux-mêmes (1973), Terre et Fondation (1987), etc.

 

Les Dieux eux-mêmes,

Isaac Asimov, Trad.

Jane Fillion, Ed. Gallimard,

2002

 

Lamont cherche à démontrer la dangerosité de la pompe à électrons d’une

l'humanité une énergie à priori illimitée inventée par Hallam, en 2100

 

     «Lamont est un personnage qui cherche, en retraçant son histoire fictive, à démontrer la dangerosité de la pompe à électrons. D'emblée, l’on découvre, l’invention extraordinaire, qui assure à l'humanité une énergie à priori illimitée et peu coûteuse. Celle-ci a été inventé par Hallam, devenu depuis le grand patron des institutions scientifiques de son temps, en 2100). Son principe est fondé sur l'échange d'atomes entre notre univers et un para-univers, peuplé de créatures intelligentes, mais qui demeurent inaccessibles et dont l'unique forme de communication réside dans cet échange atomique. Leur planète, et leur civilisation, sont mourante, car leur soleil est en train de s'éteindre. Ils pensent que cet appareil est un bienfait, même son danger, à la maintenir en état de marche est une question de survie. Il y va d’une espèce extraterrestre, extradimensionnelle et à fait originale, car elle a été, d’abord, sous une forme fluide, combinée en trinôme, un Rationnel, une Émotionnelle et un Parental, avant de fusionner en une forme solide et individuelle. Or, Denison, ex-collègue de Hallam, rejoint les craintes de Lamont et se rend sur la Lune, colonisée, depuis une cinquantaine d'années par un peuple de lunarites, aux moeurs bien différentes de ceux des terriens, voués au nudisme. Des intrigues politiques entre Terre et Lune, ainsi que dans la relation entre Séléné, la jolie guide touristique et l’ex- collègue. Ce dernier va trouver enfin le moyen de compenser le déséquilibre de l'interaction forte induite par le pompage et à termes fatals l’univers terrestre, en multipliant les sources, et univers, où puiser les atomes. Là, il s’agit d’un problème de création d'énergie en parallèle contemporain aujourd’hui.», www.babelio.com, p.1.

 

·  Qui a peur de la mort ? Nnedi Okorafor, Trad. Laurent Philibert-Caillat, Nnedi Okorafor, Ed. Panini Comics, 2013, ou : En Afrique, après une guerre nucléaire des génocides intertribaux continuent Une femme donne naissance à une petite fille à la peau et aux cheveux couleur du sable qui a des pouvoirs magiques encore enfant fuit

pour savoir son nom «Onyesonwu», «Qui a peur de la mort» :

 

     Née en 1974, à Cincinnati en Ohio, aux USA, Nnedi Okorafor est une écrivaine et romancière nigériano-américaine. Elle est née de parents nigériens. Elle a fait de nombreux voyages au Nigéria pour découvrir ses racines. Elle est titulaire d'un master de journalisme et d'un doctorat en anglais. Elle est aujourd'hui professeure d'écriture à l'université d'Etat de Chicago. Elle est l’auteure de : Qui a peur de la Mort ? (2011), etc.

 

Qui a peur de la mort ?

Nnedi Okorafor, Trad.

Laurent Philibert-Caillat,

Nnedi Okorafor, Ed. Panini

Comics, 2013

 

En Afrique, après une guerre nucléaire des génocides intertribaux continuent

Une femme donne naissance à une petite fille à la peau et aux cheveux

couleur du sable qui a des pouvoirs magiques encore enfant fuit

pour savoir son nom «Onyesonwu», «Qui a peur de la mort»

 

   «En Afrique, après une guerre nucléaire, le monde a tout à fait changé de tant de façons, mais reste une région où les génocides intertribaux continuent d’ensanglanter la terre. Une femme survit à l’anéantissement de son village et au viol commis par un général ennemi. Elle erre dans le désert pour y mourir, mais donne naissance à une petite fille dont la peau et les cheveux ont la couleur du sable. Sachant que son enfant est différente, elle la nomme « Onyesonwu », Qui a peur de la mort ? Onye grandit, elle comprend les stigmates physiques et sociaux de sa conception. Or, des pouvoirs magiques se manifestent chez elle encore enfant. Rebelle, cela la poussent à quitter son foyer pour se lancer dans un voyage qui la forcera à affronter la nature, la tradition, l’histoire, l’amour, les mystères spirituels de sa culture, et apprend enfin pourquoi elle a reçu le nom qu’elle porte.», www.amazon.fr, p.1.

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