jueves, 7 de septiembre de 2023

Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !, poème, Dr. SOSSE ALAOUI Med.

Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

Dr. SOSSE ALAOUI MOHAMMED

Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme 

Des règnes des espèces vivantes il se conçoit hors normes

A en dénaturer terre sol air végétal minéral animal et eau

Il se reprend maître de la nature à outrepasser à vau l’eau

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

Nature au sol a son propre rythme aux ressource infinies

Elle y en ignore les sociétés de masse et leurs us indéfinis

La vie réglée telle une horloge de l’univers sans nul effort

Générations d’hommes de flores et de faunes en renfort

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

                                                                                                                              

Une infinité de vies sur le globe usent ses excès en retour

Il fait fi de son être lié à tous les êtres dont il refait détour

Espace vital des ressources naturelles au stop gaspillages

La terre de l’univers à galaxies survole sans appareillages

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

A témoin oculaire il nuit air sol ciel mer village ville relief

De la nature reverdie il bâtit forteresses domaines et fiefs

Par une chaîne alimentaire il rallie faune et flore fortuites

Sans quoi il y va de sa perte de sa puissance mue gratuite

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

Né de la nature où instinct de conservation est si répandu

Tel que la chlorophylle renait aux arbres vivants confondue

Par excès il la dégrade pour desservir ses essais prouesses

La nature dénie l’artifice le rend maux sinistres et détresse

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

Tel le changement climatique réitérant catastrophes périls

Fin d’énergies fossiles atmosphère proie d’enjeu jeu puéril

Jadis réconfort naturel nuisance aujourd’hui sic modernité

Déficit cyclique d’eau d’air pur d’espace vert pus calamités  

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

Emanations des gaz en d’obus de drones au sol terre brûlée

Climats secs cuisant ozone pelé ordres de saisons obnubilés

Des sécheresse et inondation déluge polaire néo-glaciation

Tsunami apocalyptique dérive de continent en dépréciations

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

Tel un raccourci d’atomes l’homme frôle l’inconnu y propage

Rêves d’autres terres à des années-lumière d’univers voyage  

Mais nulles de traces illico de vie ailleurs ni d’OVNI agrestes

 SOS régénération terre verte à l’infini hormis chaos funestes

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit t surhomme !

 

Instinct bestial et intellect humain quelle en est la différence

Complémentarité de vivants milieu planétaire de références

L’oiseau y fait son nid en architecte et debout la fleur pousse

L’abeille fait la ruche miel et sème pollen et la flore repousse

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

 Finitude coopère infinitude la course vitale contre la montre

Sans engins supersoniques ni méfait que la météo démontre

Attraction d’aimant à œil nu sur terre y reprend sa revanche

Nuls ports de vies hors la terre à Jupiter à la lune ou à vénus

L’être humain y paraît microscopique tout omniscient minus  

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

                                                                                                                                                  

Aux prises avec les forces surnaturelles cosmiques fait crashes

Et sur écorce de noyau terrestre partout jette rebuts et crache

En l’air et en mer vils rejets toxiques s’y répandent sans noms

Là vont amerrir navette et cosmonaute parachute et surnoms

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

Airs viciés sans philtres nulles récoltes nuls vivres à y pourvoir

De plus l’infini à moins l’infini l’homme augure de son pouvoir

S’il y revoit ciel terre et mer périr qu’est-ce que cela interpelle

Pérégrination au bout de la nuit de la terre devenue poubelle

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Entre plus et moins l’infini l’homme se perçoit surhomme !

 

L’homme doit mettre  pendule à heure de la terre et y remédier

Une planète vouée au néant péril sera la vie du cosmos radiée

Les énergies vertes renouvelables sonnent çà et là à nos portes

Une vie d’homme présent et futur que leurs bonus rapportent

 

Dr. SOSSE ALAOUI MOHAMMED

Maroc

Le 07- 09 - 2023

 

 

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